The Sweet Hereafter, Russell Banks - 1991
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The Sweet Hereafter, Russell Banks - 1991
The Sweet Hereafter, Russell Banks (1991)
La coquille familiale : éclat et éclosion
On n'en a pas fini avec Russell Banks (ou du moins je n'en ai pas fini avec lui).
(pour éviter de trop dévoiler l'intrigue, il y a certains thèmes que je ne fais qu'évoquer, mais qui sont faciles à développer après lecture du roman)
The Sweet Hereafter est un roman court et intimiste sur la communauté, sur la famille et sur l'individu : tous un peu perdus. Le drame fait voler en éclat les structures traditionnelles et impose cette nécessité : réinventer la vérité –et les codes- pour retrouver sa cohésion.
Le roman s'ouvre sur le drame originel : l'accident. Dolorès, fidèle et attentionnée conductrice de car depuis un nombre incalculable d'années, nous présente sa communauté à travers ces enfants qu'elle récupère sur le chemin de l'école. Nous faisons le tour de la communauté (où les différentes origines sociales sont subtilement mélangées) et prenons la mesure de la place de ses enfants dans leur famille (enfant adopté, jumeaux orphelins de mère…). La vie pourrait presque suivre son cours et continuer à avoir l'air normal s'il n'y avait pas eu cet accident, si le bus, ce matin-là, n'avait pas fait une sortie de route pour plonger dans le lac voisin…
Pour raconter l'accident et ses répercussions sur la communauté quatre narrateurs différents se succèdent (amis de la diégèse bonjour). Il y a Dolorès (la conductrice de bus), Billy Ansel (le père des jumeaux morts dans l'accident, qui avait déjà perdu sa femme quelques années plus tôt), Mitchell Stephens (l'avocat) et Nicole (l'une des survivantes de l'accident). Le roman pose la question du deuil : "when the worst things happens, who do you blame?".
La communauté a perdu sa base : les enfants. Une ruée d'avocats fond sur la petite ville. L'un d'eux sort du lot : Stephen Mitchell. Son histoire personnelle (sa relation avec sa fille) apporte de la profondeur à la thèse du roman et lui évite le statut de "charognard". Son postulat est clair : quelqu'un est responsable de l 'accident (pas la conductrice, pas le réparateur du bus), l'un des organes supérieurs (l'état, une compagnie x ou y…) et c'est pour cette raison qu'il faut engager un procès pour dédommager les familles financièrement. Petit à petit, des familles acceptent de lui faire confiance. L'avocat (qui représente également la loi extérieure, la loi étatique) s'insinue dans la communauté (et veut remplacer la loi interne).
Dès lors, la communauté se fissure, parce que le deuil les pousse dans des directions opposées, parce qu'ils ne cherchent pas les réponses du même côté. On se rend compte des failles qui se creusaient subrepticement au sein de la communauté. Le dénouement permet la reconstruction de la communauté, le comblement de ces failles, toujours de manière secrète et interne -introspective presque-. L'unité des particules élémentaires donne sa cohérence à la communauté.
Le roman offre une belle réflexion sur les relations entre les générations et en particulier sur les rapports père/fille…, sur le passage à l'âge adulte (le parcours de Nicole). Ce roman postdiluvien est également une belle allégorie de la vérité, celle de ceux qui ont survécu au drame : drame destructeur et fondateur.
A noter qu'il existe une adaptation ciné par Atom Egoyan très intéressante. Il faut, selon moi, la voir en complément du roman : pour voir comment le cinéaste rend l'atmosphère, la complexité du roman sans en garder la structure polyphonique et pour mieux comprendre certaines scènes (qui sont assez ambiguës dans le film).
La coquille familiale : éclat et éclosion
On n'en a pas fini avec Russell Banks (ou du moins je n'en ai pas fini avec lui).
(pour éviter de trop dévoiler l'intrigue, il y a certains thèmes que je ne fais qu'évoquer, mais qui sont faciles à développer après lecture du roman)
The Sweet Hereafter est un roman court et intimiste sur la communauté, sur la famille et sur l'individu : tous un peu perdus. Le drame fait voler en éclat les structures traditionnelles et impose cette nécessité : réinventer la vérité –et les codes- pour retrouver sa cohésion.
Le roman s'ouvre sur le drame originel : l'accident. Dolorès, fidèle et attentionnée conductrice de car depuis un nombre incalculable d'années, nous présente sa communauté à travers ces enfants qu'elle récupère sur le chemin de l'école. Nous faisons le tour de la communauté (où les différentes origines sociales sont subtilement mélangées) et prenons la mesure de la place de ses enfants dans leur famille (enfant adopté, jumeaux orphelins de mère…). La vie pourrait presque suivre son cours et continuer à avoir l'air normal s'il n'y avait pas eu cet accident, si le bus, ce matin-là, n'avait pas fait une sortie de route pour plonger dans le lac voisin…
Pour raconter l'accident et ses répercussions sur la communauté quatre narrateurs différents se succèdent (amis de la diégèse bonjour). Il y a Dolorès (la conductrice de bus), Billy Ansel (le père des jumeaux morts dans l'accident, qui avait déjà perdu sa femme quelques années plus tôt), Mitchell Stephens (l'avocat) et Nicole (l'une des survivantes de l'accident). Le roman pose la question du deuil : "when the worst things happens, who do you blame?".
La communauté a perdu sa base : les enfants. Une ruée d'avocats fond sur la petite ville. L'un d'eux sort du lot : Stephen Mitchell. Son histoire personnelle (sa relation avec sa fille) apporte de la profondeur à la thèse du roman et lui évite le statut de "charognard". Son postulat est clair : quelqu'un est responsable de l 'accident (pas la conductrice, pas le réparateur du bus), l'un des organes supérieurs (l'état, une compagnie x ou y…) et c'est pour cette raison qu'il faut engager un procès pour dédommager les familles financièrement. Petit à petit, des familles acceptent de lui faire confiance. L'avocat (qui représente également la loi extérieure, la loi étatique) s'insinue dans la communauté (et veut remplacer la loi interne).
Dès lors, la communauté se fissure, parce que le deuil les pousse dans des directions opposées, parce qu'ils ne cherchent pas les réponses du même côté. On se rend compte des failles qui se creusaient subrepticement au sein de la communauté. Le dénouement permet la reconstruction de la communauté, le comblement de ces failles, toujours de manière secrète et interne -introspective presque-. L'unité des particules élémentaires donne sa cohérence à la communauté.
Le roman offre une belle réflexion sur les relations entre les générations et en particulier sur les rapports père/fille…, sur le passage à l'âge adulte (le parcours de Nicole). Ce roman postdiluvien est également une belle allégorie de la vérité, celle de ceux qui ont survécu au drame : drame destructeur et fondateur.
A noter qu'il existe une adaptation ciné par Atom Egoyan très intéressante. Il faut, selon moi, la voir en complément du roman : pour voir comment le cinéaste rend l'atmosphère, la complexité du roman sans en garder la structure polyphonique et pour mieux comprendre certaines scènes (qui sont assez ambiguës dans le film).
Dernière édition par Marie le Mar 19 Avr - 0:40, édité 1 fois
Marie- Messages : 642
Date d'inscription : 13/10/2010
Re: The Sweet Hereafter, Russell Banks - 1991
Bon au moins y en a une qui est fan de quelque chose... (pour ne pas dire de quelqu'un).
bats- Messages : 160
Date d'inscription : 19/10/2010
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Humeur : bonne en général
Re: The Sweet Hereafter, Russell Banks - 1991
Je me doutais que ça te rendrait sceptique Baptos. :p (mais tu veux des sujets alors voilà)
Et je ne suis pas fan de Russell Banks, j'aime bien ce qu'il écrit (jusque là).
Et je ne suis pas fan de Russell Banks, j'aime bien ce qu'il écrit (jusque là).
Marie- Messages : 642
Date d'inscription : 13/10/2010
Re: The Sweet Hereafter, Russell Banks - 1991
Je ne parlais pas forcément de Russell Banks... Voyons, fais pas ton innocente.
Non mais t'inquiète pas, tant que tu ressuscites Vara ça va, tous les moyens sont bons.
Non mais t'inquiète pas, tant que tu ressuscites Vara ça va, tous les moyens sont bons.
bats- Messages : 160
Date d'inscription : 19/10/2010
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Re: The Sweet Hereafter, Russell Banks - 1991
L'intrigue a l'air pas mal ! Mais ça a l'air biiiiiiiien triste aussi ^^ Même si ça a l'air cool parce que ça me fait penser au Wayward Bus de John (qui a fêté son 109ème anniversaire d'ailleurs !)
clem- Messages : 939
Date d'inscription : 13/10/2010
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Localisation : France
Emploi/loisirs : Bourguignon
Humeur : flaubertienne
Re: The Sweet Hereafter, Russell Banks - 1991
J'en connais un qui est fan de quelqu'un d'autre... ^^
Marie- Messages : 642
Date d'inscription : 13/10/2010
Re: The Sweet Hereafter, Russell Banks - 1991
Bon anniversaire John!
Ah oui Marie?
Ah oui Marie?
bats- Messages : 160
Date d'inscription : 19/10/2010
Age : 33
Localisation : dijon
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Re: The Sweet Hereafter, Russell Banks - 1991
Oh c'est vrai c'était son anniversaire hier!
Bien vu Baptos.
(et je ne répondrai pas à tes allusions infondées et hors-sujet)
Bien vu Baptos.
(et je ne répondrai pas à tes allusions infondées et hors-sujet)
Marie- Messages : 642
Date d'inscription : 13/10/2010
Re: The Sweet Hereafter, Russell Banks - 1991
Euhhhh
D'une c'est pas HS puisque tu parles de Russell Banks qui est fortement lié à... Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom.
De deux c'est pas infondé vu que ton adoration n'est plus un secret.
De trois, tu sembles toi mm lancer de nouvelles rumeurs à mon sujet ce qui m'intrigue...
Sinon tout va bien, le pronostique vital de Vara n'est plus engagé!
D'une c'est pas HS puisque tu parles de Russell Banks qui est fortement lié à... Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom.
De deux c'est pas infondé vu que ton adoration n'est plus un secret.
De trois, tu sembles toi mm lancer de nouvelles rumeurs à mon sujet ce qui m'intrigue...
Sinon tout va bien, le pronostique vital de Vara n'est plus engagé!
bats- Messages : 160
Date d'inscription : 19/10/2010
Age : 33
Localisation : dijon
Humeur : bonne en général
Re: The Sweet Hereafter, Russell Banks - 1991
1. C'est HS parce que ce n'est pas intéressant (encore moins lié au roman).
2. Ce n'est absolument pas de l'adoration, de l'admiration tout au plus. Il y a donc peut-être un peu de désir triangulaire/mimétique (selon Girard) dans mon intérêt pour Banks, mais j'ai aussi un peu de libre-arbitre et je choisis des auteurs qui me plaisent ou m'intriguent.
3. Je lance des rumeurs sans le savoir alors. ^^
Ouf pour Vara.
P.S : j'ai toujours des doutes maintenant sur l'utilisation correcte du désir triangulaire. Pardon par avance si j'ai mélangé les idées (le cœur y était).
2. Ce n'est absolument pas de l'adoration, de l'admiration tout au plus. Il y a donc peut-être un peu de désir triangulaire/mimétique (selon Girard) dans mon intérêt pour Banks, mais j'ai aussi un peu de libre-arbitre et je choisis des auteurs qui me plaisent ou m'intriguent.
3. Je lance des rumeurs sans le savoir alors. ^^
Ouf pour Vara.
P.S : j'ai toujours des doutes maintenant sur l'utilisation correcte du désir triangulaire. Pardon par avance si j'ai mélangé les idées (le cœur y était).
Dernière édition par Marie le Mar 10 Mai - 9:41, édité 1 fois
Marie- Messages : 642
Date d'inscription : 13/10/2010
Re: The Sweet Hereafter, Russell Banks - 1991
Post inutile pour dire qu'un jour, je le lirai aussi.
Ma liste se rallonge, maudite Vara... ^^
Ma liste se rallonge, maudite Vara... ^^
LPM- Messages : 197
Date d'inscription : 11/12/2010
Age : 35
Localisation : Glasgow
Emploi/loisirs : Lecteur/casse-pieds
Humeur : comme la météo
Re: The Sweet Hereafter, Russell Banks - 1991
Je crois que le désir triangulaire fait référence au fait que tu désires
ce qu'ont les autres. C'est la jalousie mais aussi le simple fait
d'avoir envie de ce que tes congénères ont pour te sentir faire partie
de leur groupe par exemple. Et par conséquent l'objet que tu désires est
un prétexte, bien que tu n'en sois pas tjrs consciente. Genre si t'as
envie d'un MP3, ça veut pas dire que t'en veux un, ça veut juste dire
que tu veux être comme tout le monde. Ca existe aussi chez les animaux,
sauf qu'eux n'en sont probablement jms conscients.
Bref.
...Et on n'insulte pas Vara svp^^
ce qu'ont les autres. C'est la jalousie mais aussi le simple fait
d'avoir envie de ce que tes congénères ont pour te sentir faire partie
de leur groupe par exemple. Et par conséquent l'objet que tu désires est
un prétexte, bien que tu n'en sois pas tjrs consciente. Genre si t'as
envie d'un MP3, ça veut pas dire que t'en veux un, ça veut juste dire
que tu veux être comme tout le monde. Ca existe aussi chez les animaux,
sauf qu'eux n'en sont probablement jms conscients.
Bref.
...Et on n'insulte pas Vara svp^^
bats- Messages : 160
Date d'inscription : 19/10/2010
Age : 33
Localisation : dijon
Humeur : bonne en général
Re: The Sweet Hereafter, Russell Banks - 1991
Bon c'est donc une version dérivée du désir triangulaire (ou imaginaire). ^^ *MAAT me tuerait*
L'idée (dérivée) y était.
Baptos ton rapport avec Vara est un peu ambigu, ça dépasse la simple admiration là.
L'idée (dérivée) y était.
Baptos ton rapport avec Vara est un peu ambigu, ça dépasse la simple admiration là.
Marie- Messages : 642
Date d'inscription : 13/10/2010
Re: The Sweet Hereafter, Russell Banks - 1991
Je plussoie le Bats, personne n'insulte Vara !
*OSEF oui et alors ?*
*OSEF oui et alors ?*
clem- Messages : 939
Date d'inscription : 13/10/2010
Age : 32
Localisation : France
Emploi/loisirs : Bourguignon
Humeur : flaubertienne
Re: The Sweet Hereafter, Russell Banks - 1991
Merci Poussinet!
Non mais oh! aucune hérésie ne sera tolérée!
Non mais oh! aucune hérésie ne sera tolérée!
bats- Messages : 160
Date d'inscription : 19/10/2010
Age : 33
Localisation : dijon
Humeur : bonne en général
Re: The Sweet Hereafter, Russell Banks - 1991
C'est pas moi qu'a commencé.^^
bats- Messages : 160
Date d'inscription : 19/10/2010
Age : 33
Localisation : dijon
Humeur : bonne en général
Re: The Sweet Hereafter, Russell Banks - 1991
Les dangers de l'athéisme...
LPM- Messages : 197
Date d'inscription : 11/12/2010
Age : 35
Localisation : Glasgow
Emploi/loisirs : Lecteur/casse-pieds
Humeur : comme la météo
Re: The Sweet Hereafter, Russell Banks - 1991
Que vient faire l'athéisme ici? Au fait LPM, si tu sais l'origine de ce surnom peut-tu nous la rappeler stp? Oui parce que Clément et moi on s'en rappelle plus...
bats- Messages : 160
Date d'inscription : 19/10/2010
Age : 33
Localisation : dijon
Humeur : bonne en général
Re: The Sweet Hereafter, Russell Banks - 1991
Quoi ?!
J'ai déjà quitté vos divines mémoires, messieurs ?!
Quelle déchéance ! Je ne me savais pas aussi indigne...
J'ai déjà quitté vos divines mémoires, messieurs ?!
Quelle déchéance ! Je ne me savais pas aussi indigne...
LPM- Messages : 197
Date d'inscription : 11/12/2010
Age : 35
Localisation : Glasgow
Emploi/loisirs : Lecteur/casse-pieds
Humeur : comme la météo
Re: The Sweet Hereafter, Russell Banks - 1991
LPM, ce sont ses initiales
Louis Pierre Muller ! (merci, ô cours de conversation ! )
On lui a ensuite attribué le surnom " Le Petit Maulnes" pcq c'est le texte qu'on faisait en thème, et qui correspondait à ses initiales.
* oui, Elise refait son apparition après qques semaines d'absence!
Es-tu flatté Louis que ce soit pour écrire un post à ton sujet ? *
Louis Pierre Muller ! (merci, ô cours de conversation ! )
On lui a ensuite attribué le surnom " Le Petit Maulnes" pcq c'est le texte qu'on faisait en thème, et qui correspondait à ses initiales.
* oui, Elise refait son apparition après qques semaines d'absence!
Es-tu flatté Louis que ce soit pour écrire un post à ton sujet ? *
Elise- Messages : 161
Date d'inscription : 13/10/2010
Age : 33
Re: The Sweet Hereafter, Russell Banks - 1991
(euh, oui mais je parlais de Poussinet, pas de LPM.)
bats- Messages : 160
Date d'inscription : 19/10/2010
Age : 33
Localisation : dijon
Humeur : bonne en général
Re: The Sweet Hereafter, Russell Banks - 1991
Haaaa, la magie d'internet et de ces quiproquos...
Anyway, je suis très flatté Elise, très.
Anyway, je suis très flatté Elise, très.
LPM- Messages : 197
Date d'inscription : 11/12/2010
Age : 35
Localisation : Glasgow
Emploi/loisirs : Lecteur/casse-pieds
Humeur : comme la météo
Re: The Sweet Hereafter, Russell Banks - 1991
On dérive les enfants (sauf exponentiel qui s'en fout).
Mais je suis sûre que Russell Banks serait ravi d'autaut de popularité. ^^
Pour le surnom "Poussinet" je crois que c'était l'impulsion du moment.
Mais je suis sûre que Russell Banks serait ravi d'autaut de popularité. ^^
Pour le surnom "Poussinet" je crois que c'était l'impulsion du moment.
Dernière édition par Marie le Mar 10 Mai - 9:40, édité 1 fois
Marie- Messages : 642
Date d'inscription : 13/10/2010
Re: The Sweet Hereafter, Russell Banks - 1991
hahaaa au temps pour moi ! ^^
[ du coup, mon come-back se fait sur un quiproquo... pas top quand mm ]
Tant pis =)
Oo
j'avoue que j'avais pas trop fait attention au sujet de base... J'ai fait mon come-back sur Russell Banks... Je me sens roulée u___u
[ du coup, mon come-back se fait sur un quiproquo... pas top quand mm ]
Tant pis =)
Oo
j'avoue que j'avais pas trop fait attention au sujet de base... J'ai fait mon come-back sur Russell Banks... Je me sens roulée u___u
Elise- Messages : 161
Date d'inscription : 13/10/2010
Age : 33
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